Démission - Acte 4 (ou comment le feuilleton de l'été tourne au vinaigre)
Nouvelle phase. Mon week-end d'insomnies et de contrariétés m'a poussée à agir.
J'ai déclaré la guerre à mon patron.
Objectif court-terme: que quelqu'un lui dise (autre que moi) de me foutre la paix.
Objectif moyen-terme: qu'on me laisse partir à la date de mon choix (31 août!!!).
Objectif long-terme: qu'il emmerde moins de salariés à l'avenir.
Comment que je fais ça? Et bien c'est simple, c'est factuel et direct: j'ai écris un e-mail à ma N+1, N+2 et au responsable juridique garant du respect du code d'éthique interne, e-mail détaillant par le menu les principales raisons de ma démission et du malaise/risque encouru par la boite compte-tenu de son comportement.
Alors les exemples donnés vont des remarques d'ordre sexuel à mon égard, aux menaces de licenciement faites à certains salariés, en passant par ses accusations à l'encontre de salariés qui n'ont rien fait afin de se couvrir pour finir par son diagnostic de dysfonctionnement mental sur ma personne. Le tout saupoudré d'inspection du travail, de médecine du travail, de points juridiques sur le harcèlement moral, de dates, d'endroits et de noms de dossiers.
Tout ça pour dire que même si rien ne lui ai dit ou rien n'est fait, ne serait-ce parce que j'ai écris ça, on devrait me foutre la paix et puis au moins, je ne me sens plus victime, mais actrice.
J'ai déclaré la guerre à mon patron.
Objectif court-terme: que quelqu'un lui dise (autre que moi) de me foutre la paix.
Objectif moyen-terme: qu'on me laisse partir à la date de mon choix (31 août!!!).
Objectif long-terme: qu'il emmerde moins de salariés à l'avenir.
Comment que je fais ça? Et bien c'est simple, c'est factuel et direct: j'ai écris un e-mail à ma N+1, N+2 et au responsable juridique garant du respect du code d'éthique interne, e-mail détaillant par le menu les principales raisons de ma démission et du malaise/risque encouru par la boite compte-tenu de son comportement.
Alors les exemples donnés vont des remarques d'ordre sexuel à mon égard, aux menaces de licenciement faites à certains salariés, en passant par ses accusations à l'encontre de salariés qui n'ont rien fait afin de se couvrir pour finir par son diagnostic de dysfonctionnement mental sur ma personne. Le tout saupoudré d'inspection du travail, de médecine du travail, de points juridiques sur le harcèlement moral, de dates, d'endroits et de noms de dossiers.
Tout ça pour dire que même si rien ne lui ai dit ou rien n'est fait, ne serait-ce parce que j'ai écris ça, on devrait me foutre la paix et puis au moins, je ne me sens plus victime, mais actrice.